À LA MÉMOIRE DES VICTIMES DE LA DIVISION ALLEMANDE
Ces segments en béton faisaient à l’origine partie du programme de Berlin Mur. De 1949 à 1961, environ 3 millions de personnes ont fui de la RDA vers l’Ouest. Le 13 août 1961, le La frontière est fermée pour de bon. Environ 1 000 personnes ont été tuées. Le régime frontalier inhumain des fils barbelés et Champs de mines jusqu’en 1989. Combien vivent par la détention, l’adoption forcée, la séparation et l’expulsion ont été détruites, est inconnu. Henry Leuschner a refusé de faire son service militaire en de l’Armée nationale populaire de la RDA. Pour s’évader de prison, il a tenté de fuir vers l’Ouest. Touché par 22 Tiré par un dispositif d’autodéfense, il a à peine survécu. Après 21 mois d’emprisonnement en RDA, il a été libéré en. En 1990, il a été témoin dans le procès d’un tireur de mur. Aujourd’hui encore, il souffre de paralysie et de douleurs.
Photo: Une frontière de champs de mines et de clôtures coupée Allemagne: au poste-frontière intérieur de l’Allemagne Elend/Thuringe, décembre 1989.
Photo : Aad van der Drift (0638 1989, passage de la frontière) Elened (28 déc) CC BY 2.0 (https://creativecommons.org/licenses/by/2.0)],via Wikimedia Commons
Photo à gauche : Henry Leuschner à l’âge de 18 ans.
Source: Henry Leuschner
Photo de droite : Henry Leuschner dans l’ancien hôpital de la prison au mémorial de la Stasi à Berlin-Hohenschönhausen. C’est là que l’homme gravement blessé a été soigné et emprisonné.
Photo : Beatrice Bertel/Berlin (2018)
Réplique d’une installation d’autoflagellation SM-70 à la frontière intérieure de l’Allemagne (Exposition Grenzhus Schlagsdorf).
Photo : ChrisO [CC BY-SA 3.0]
(https://creativecommons.org/licences/by-sa/3.0)
17 JUIN 1953 – SOULÈVEMENT POPULAIRE CONTRE LE RÉGIME SED
Après la dictature hitlérienne, les Allemands de la RDA ont également en espérant la démocratie. Au lieu de cela le SED une nouvelle dictature. Quand, après la mort de Staline. Mars 1953 : rien ne change, les ouvriers du bâtiment de Berlin commencent une Grève. Les émeutes se sont rapidement étendues à toute la RDA. La grève a dégénéré en soulèvement. Les prisonniers politiques ont été libérés, les services de la Sûreté de l’État et la police a été prise d’assaut et une grève générale a été déclenchée. Les insurgés a exigé la démission du gouvernement et des élections libres. L’armée soviétique est partie en chars contre les insurgés avant. Il y a 55 décès documentés. Par des tribunaux spéciaux. 1 500 insurgés ont été condamnés à mort, à des peines de prison en Sibérie ou la prison en RDA. En 1956, un secret statistiques sur les 10 000 „criminels d’État“ condamnés dans les Prisons de la RDA.
Photo: Camps de travail forcé en RDA avec des entreprises affiliées (Raßnitz vers 1985).
Source : BStU MfS BV Halle
Photo: Les protestations à Leipzig (RDA) le 17 juin 1953 sont réprimées par des chars.
Source : Archives fédérales
Photo: Affiche de protestation de 1953 de la République fédérale Allemagne.
Source : Archives fédérales
Photo: Utilisation prévue de prisonniers comme Travailleurs forcés dans l’industrie 1964.
Source : Archives fédérales
PRIS AU PIÈGE DANS LEUR PROPRE PAYS – LES VOIES D’ÉVACUATION VERS L’OUEST
Chaque évasion était une question de vie ou de mort, pérenne et risquant la prison. Celui qui arrive vivant à l’Ouest voulait quitter le pays, a demandé un visa de sortie aux autorités de la RDA. Les demandeurs étaient traités comme des ennemis de l’État. Ils ont été emprisonnés, victimes de discrimination professionnelle et traités avec des méthodes „décomposées“. Les victimes étaient souvent aussi conjoints, frères et sœurs et enfants. Elke Schlegel en tant que gérante d’hôtel était, après la demande de départ définitif dégradée en puissance de chasse d’eau et finalement interdite de profession occupé. Sous la garde du Département de la sécurité de l’État menacé de mourir également dans un accident de la route si elle n’abandonne pas ses projets. Son mari et son enfant ne la reverrait plus jamais. Pour „tentative d’évasion de la République“. Elle a été condamnée à 18 mois de prison à Hoheneck condamné et finalement rançonné par l’Occident.
Certificat de libération du système pénal de la RDA vers la République fédérale d’Allemagne.
Source : Elke Schlegel
Carte de détention pour le transfert d’Ursula Hoffmann du camp spécial de Sachsenhausen à la prison pour femmes Hoheneck. Votre enfant est né dans le camp spécial (colonne de gauche, au milieu).
Source : Alexander Latotzky
La cellule d’eau de la prison de Hoheneck a servi Punition des femmes emprisonnées.
Photo : Elke Schlegel (2018)
Ancienne prison de DDR pour les femmes Hoheneck en Stollberg, aujourd’hui un site commémoratif en construction.
Photo : Elke Schlegel (2013)
AVEC DES MANIFESTATIONS ET DES BOUGIES POUR UNE RÉVOLUTION PACIFIQUE
Avec la révolution pacifique de 1989, la dictature du SED renversé. Peu à peu, les dirigeants sont devenus forcé d’abdiquer. La non-violence a caractérisé les manifestations du lundi à Leipzig, à Plauen et ensuite dans de nombreuses localisez. Des centaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue pour donner au régime du SED pour y mettre un terme. Le 9 novembre 1989, la Commission de Berlin Mur. L’ouverture de la frontière intérieure allemande a été forcé. En mars 1990, des citoyens libres ont mené la première des élections libres depuis la fin de la République de Weimar. À l’adresse suivante: décision de la Volkskammer, démocratiquement légitimée, était L’Allemagne s’est réunie dans la liberté le 3 octobre 1990. Ainsi, l’objectif fixé dans la Loi fondamentale de La République fédérale était destinée : „Tout le peuple allemand reste appelé à la liberté et à l’autodétermination, l’unité et la liberté de l’Allemagne“.
La chaire de l’église de la ville de Torgau a proclamé un nouvelle ère. Les citoyens exigent la liberté et la démocratie.
Photo : Erdmute Bräunlich (novembre 1989)
Chaque dimanche, 2 000 citoyens de Torgau se réunissaient dans l’église de la ville pour discuter de leurs demandes pour mettre l’accent.
Photo : Erdmute Bräunlich (novembre 1989)
Manifestation de 6 000 citoyens de Torgau pour la fin de la dictature du SED le 9 novembre 1989, le jour même de la chute du mur de Berlin.
Rencontre entre les Allemands de l’Est et de l’Ouest au nouveau poste frontière de Berlin Schlesische Straße/Pushkinalelee.
Photo : Klaus Lenartz (11 novembre 1989)
LA RÉSISTANCE DÉMOCRATIQUE DES JEUNES À TOUT MOMENT
Malgré les représailles, les gens ont continué à offrir leur résistance. Les étudiants se sont réunis pour former le „Cercle d’Eisenberg“. Par des tracts, ils ont exigé des élections libres et la libération prisonnier politique. En 1958, 24 membres du groupe à un total de 116 ans de prison. Dans les années 80, le „Cercle blanc“ a protesté à Iéna par des manifestations et des protestations silencieuses pour le droit de quitter le pays. Thomas Schmidt était membre du „Cercle blanc“. En raison d’une conversation téléphonique avec des parents à l’Ouest, il est devenu 17 mois Condamné à la prison. Au pénitencier de Cottbus, il a dû faire du travail forcé pour le Pentagone. Matthias Domaschk est mort sous dans des circonstances mystérieuses sous la garde de la Sûreté de l’État. Roland Jahn a été déporté de force de la RDA. En 2011, il est devenu commissaire fédéral pour les dossiers de la Stasi.
Le délégué fédéral aux documents de la Sécurité d’État de la RDA, Roland Jahn.
Source : privé (2017)
Thomas Schmidt, Elke Schlegel et son fils Tony.
Source : Elke Schlegel (1983)
L’ancienne prison de Cottbus en RDA, aujourd’hui centre des droits de l’homme et lieu de mémoire à possession d’anciens prisonniers politiques de la RDA.
Photo : Elke Schlegel (2016)
Les participants du Cercle blanc sont soutenus par le Arrestation par la police populaire (1983).
Source : BStU, MfS, HA/XX/Fo/211-Picture 76
Graffitis de protestation dans l’entrée principale du siège de la Stasi à Berlin: „Vous avez assassiné Matthias Domashk.“
Source : Société Robert Havemann / Siegbert Schefke / RHG_Fo_HAB_11905.
Revendications pour la liberté du Cercle Eisenberg en tant que „protestation mobile“, sur un Wagon de marchandises (1958).
Source : BStU, MfS, branche Gera AU 33/58
CONTRE L’OUBLI DE L’INJUSTICE DU SED-DIKTATUR
Depuis le 3 octobre 1990, l’Allemagne est libre réunies. Mais le passé totalitaire des communistes Les régimes ne doivent pas être oubliés. Les segments de mur nous rappellent les nombreuses personnes qui ont vécu dans arrêté, persécuté et kidnappé pendant les 40 ans de dictature du SED, ont été expropriés et brisés spirituellement. Aux victimes compter environ 200.000 prisonniers politiques, 150.000 enfants dans les foyers spéciaux et les centres de travail pour les jeunes, des milliers les personnes expropriées et déplacées et les demandeurs de Départ. Parmi eux, on trouve des écolières persécutées et Élèves, discrimination à l’encontre des chrétiens, enfants adoptés de force en nombre inconnu.
Que ceux qui se souviennent du Mur, de la division et la dictature, et pour cela avec pour des dommages au corps et à l’âme. Pour leur contribution à la liberté et à la démocratie, nous vous en remercions.
Merci à la ville de Coblence pour l’installation des pupitres, qui commentent les segments de mur. Ils ont été rendus possibles par un engagement volontaire et un don d’anciens prisonniers politiques du régime du SED Elke et Thomas Schlegel de Coblence en coopération avec l’Union des associations de victimes de la tyrannie communiste e.V. Le projet a également bénéficié d’un soutien financier par le commissaire du gouvernement fédéral pour la nouvelle pays, M. Christian Hirte, secrétaire d’État parlementaire. La ville Coblence a pris en charge l’installation des panneaux gratuitement.
L’énorme Allemand de l’intérieur Points de passage des frontières (INVITÉS) sont maintenant superflues : Anciennement GÜSt Marienborn, aujourd’hui Mémorial.
Photo : Martin Langer (1993)
Journée de l’Allemagne Unité le 3 octobre 1990 devant le bâtiment du Reichstag, qui accueillera le Bundestag à l’avenir.
Source : gouvernement allemand, B 145 Photo-002 18879
Empreinte:
Texte / Textes : Dr. Christian Sachse/Berlin
Traduction / Traduction : Torsten Krissel/Koblenz
Design / Conception : Agence de publicité Pourcom, Ralf Strassen, 56068 Koblenz
Production : Société Saebel GmbH, 56112 Lahnstein
De plus amples informations sont disponibles sur le site web de l’UOKG. Pour plus d’informations, consultez le site web de l’UOKG (en allemand uniquement):